21 février 2010
La lutte sans merci
Tu ne veux plus lutter à mes cotés ; bien plus, tu m'ignores ; bien pire, tu me considères en ennemi. Tu as rejeté mes alliances et repoussé mes allégeances. Te voilà maintenant comme un marchand sans acheteur. Quand nous faisions équipe, nous luttions d'abord pour ne pas manquer de vivres. Quand nous fûmes dans l'aisance et que les vivres abondèrent, nous luttions pour conquérir de meilleurs territoires.
Nous voilà, maintenant que nous sommes dans l'abondance, comme loups aux abois, face à face chacun perché sur son rocher.
Écrit par Zheu-King | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
C'est bien triste.
Écrit par : heidi | 06 juillet 2010
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